Droit des soins sous contrainte
Aujourd’hui, il y a pratiquement plus de 100 000 personnes en hospitalisation sous contrainte. À ce nombre, on peut estimer que de nombreux détenus relèvent aussi du besoin de soins.
« Qui est le fou ? Le fou ou celui qui accompagne le fou ? » Cette citation issue de « Star Wars, épisode 4 » illustre toute la difficulté de la matière. Il est rare, une personne souffrante de troubles en a conscience. Non, je ne suis pas fou !
C’est le « cri » d’Edvard MUNCH, de 1893.
Dans nos sociétés, de plus en plus individuelles, où les interdits cumulent, ou l’ego est roi, les troubles de la personnalité prennent le pas sur la rationalité. À l’instar de « Dracula » de Bram STOKER, le « fou » est aujourd’hui hospitalisé, alors qu’avant la famille où le village veillait sur lui.
La personne en souffrance n’est pas toujours en mesure d’apprécier du bien fondé de cette hospitalisation. Afin aussi de lutter contre toute dérive arbitraire et surveiller les pratiques hospitalières et étatiques, le juge des libertés et de la détention, magistrat indépendant, veille sur la régularité de la procédure d’hospitalisation.
L’avocat, aussi, vérifie que la procédure est régulière et ne manque pas de dénoncer toute dérive.
Me Yvan MARTIN intervient devant le JLD, qui contrôle, la régularité de la procédure d’Hospitalisation sous contrainte.
Parfois, il faut aussi accompagner une famille, face à un de ses membres, qui refuse les soins, tout au long de cette procédure délicate où droit et psychiatrie s’entremêlent.
C’est le « cri » d’Edvard MUNCH, de 1893.
Dans nos sociétés, de plus en plus individuelles, où les interdits cumulent, ou l’ego est roi, les troubles de la personnalité prennent le pas sur la rationalité. À l’instar de « Dracula » de Bram STOKER, le « fou » est aujourd’hui hospitalisé, alors qu’avant la famille où le village veillait sur lui.
La personne en souffrance n’est pas toujours en mesure d’apprécier du bien fondé de cette hospitalisation. Afin aussi de lutter contre toute dérive arbitraire et surveiller les pratiques hospitalières et étatiques, le juge des libertés et de la détention, magistrat indépendant, veille sur la régularité de la procédure d’hospitalisation.
L’avocat, aussi, vérifie que la procédure est régulière et ne manque pas de dénoncer toute dérive.
Me Yvan MARTIN intervient devant le JLD, qui contrôle, la régularité de la procédure d’Hospitalisation sous contrainte.
Parfois, il faut aussi accompagner une famille, face à un de ses membres, qui refuse les soins, tout au long de cette procédure délicate où droit et psychiatrie s’entremêlent.